jeudi 9 juin 2016

vendredi 20 mai 2016

Association Trentemoult Village : she'll be back !

Hier, nous avons gagné une bataille. Reste encore à signer l'armistice ! J'espère que le bon sens va retrouver sa place et que ce sera pour bientôt.

Ce projet nous a montré à quel point il est important d'être vigilant pour son quartier. C'était la vocation initiale de l'association "Trentemoult Villages" qui s'était un peu endormie avec le temps, et qu'il nous paraît opportun de réveiller. Il est aujourd'hui urgent de renouveler le bureau avec des gens motivés et de permettre à cette association de nous défendre. Par exemple, si nous avions besoin un jour d'assigner la mairie à cause d'un projet manquant de bon sens (même si nous espérons ne jamais avoir à en arriver là, bien sûr !), l'association serait active et prête à le faire au pied levé.

Appel à tous :

1/ Il faut un nouveau président, trésorier, et éventuellement secrétaire.

Qui est volontaire ? Le mieux serait une réponse d'ici demain. Evidemment, si plusieurs volontaires, il y aura un vote.

2/ Il faut des membres nombreux si on veut pouvoir peser un jour en cas de conflit. Qui veut être membre ? (A savoir que nos voisins et amis des Couets sont plus que les bienvenus ! )

Une adresse a été créée: trentemoultvillages@gmail.com . C'est Carina qui va la gérer.

Merci donc de répondre très vite, surtout ceux qui souhaitent se présenter comme président, trésorier, ou secrétaire.

A bientôt !

Collectif contre la Chaufferie Californie

Chaufferie de Trentemoult : le gel du chantier annoncé.

Au terme d'une réunion publique particulièrement houleuse, jeudi soir à Rezé, les riverains ont obtenu cette proposition de la vice-présidente de Nantes métropole.

Le projet de chaufferie à bois de la Petite-Californie, à Trentemoult, à cheval sur les communes de Rezé et Bouguenais, provoque des réactions très vives de la part des futurs riverains, notamment ceux du village de Trentemoult.

Ce jeudi soir, en mairie de Rezé, 200 personnes étaient présentes et le collectif créé contre cette chaufferie a mis en cause l'étude d'impact réalisée pour la construction  de cette chaufferie à bois, qui doit aussi produire de l'électricité. Les riverains craignent des nuisances en matière de fumées, de particules fines, de bruit et de rotations de camions.

Ce collectif a remis à Julie Laernoes, vice-présidente écologiste de Nantes métropole, un contre-document de 25 pages établi en quinze jours seulement. Le maire de Rezé, Gérard Allard, a reconnu qu'il y avait eu un défaut de communication sur ce dossier. L'enquête publique s'étant achevée sans réunion publique, avant celle de ce soir. 

Au final, s'agissant d'une installation classée, c'est le préfet qui devra prendre la Déclaration d'utilité publique. 

Devant la levée de boucliers qui a duré deux heures, Julie Laernoes a proposé que les travaux soient suspendus, le temps d'analyser le document fourni par le collectif des opposants. 

Source : Ouest France du | Publié le 

dimanche 31 janvier 2016

Link arrive sur Trentemoult, vous pouvez le refuser !




La loi de transition énergétique publiée le 18 août 2015 instaure le déploiement de 35 millions de nouveaux compteurs électriques dits « Linky ». Tous les abonnements de moins de 36 kVa, résidentiels et professionnels, sont dans le viseur. Grâce à la mobilisation citoyenne, les sanctions initialement prévues en cas de refus (1 500 € d’amende) ont été retirées du texte. Refuser le compteur Linky chez soi est donc possible, mais il faut agir vite, car l’installation de Linky est programmée d’ici fin 2016 sur Rezé et donc sur Trentemoult.

Brigitte J. lutte activement contre Linky et elle sait pourquoi : il injecte des radiofréquences CPL (Courant porteur en ligne) dans tous les câbles et appareils électriques. Et le CPL, elle en a déjà fait l’expérience.

Insomniaque depuis 2009, elle suspectait le wifi des voisins de l’avoir rendue électrosensible. Pensant le CPL inoffensif, elle leur a proposé de remplacer leur connexion internet wifi par du CPL. Ils ont accepté de couper le wifi et elle leur a fourni le boîtier CPL. Elle raconte : « J’ai passé une nuit cauchemardesque. J’ai eu de graves irrégularités cardiaques, j’ai craint une crise cardiaque, j’ai failli appeler le SAMU. » Dès le lendemain, elle a repris le boîtier CPL et ses voisins ont accepté de câbler. Depuis, elle peut enfin dormir.

Magasins, voisins, entreprises...
il faut refuser le "Linky world"
L’étape suivante est de passer à l’action. Mais il faut que ce soit une action collective car, compte tenu du mode de propagation des radiofréquences, il ne suffira pas de refuser le Linky chez soi, il faut aussi informer et convaincre ses voisins et son employeur. Et aussi prévenir le maire, car c’est la commune, et non EDF/ERDF, qui est propriétaire des réseaux électriques. Ainsi que les commerçants, artisans et petites entreprises, car, en s'équipant, ils irradieront sans le savoir l'ensemble de leurs clients et même les passants sur le trottoir !

Incendies, flicage, problèmes informatiques, chômage...
Le Linky, c'est ça aussi.
Même s'il ne s'agit pas d'un problème de santé, il faut également parler des pannes à répétition observées sur les appareils déjà en service et qui auront sans doute des conséquences destructrices sur leur matériel professionnel et leur système informatique. 



Dans ses nouvelles conditions générales de vente 2015, EDF/ERDF prouve qu’il est conscient du problème en s’exonérant de toute responsabilité en cas de panne et d’incendie. Les victimes n’auront que 20 jours à compter du sinistre pour apporter la preuve du contraire et chiffrer le montant des dommages. Et comme les assurances ont exclu des garanties « tous les dommages causés par les champs électromagnétiques », ce sont les particuliers et les professionnels eux-mêmes qui devront payer les réparations et les pertes de marchandises…

Concernant les incendies, le risque est majeur. Lors de l’expérimentation des compteurs Linky en France, 7 incendies ont eu lieu entre le 31 août 2010, date de son lancement par un décret du Premier ministre François Fillon, et le 1er décembre 2010. Le film du canadien Josh del Sol Take back your Power, visible sur internet, montre ce même phénomène au Québec, où 9 millions de « smart meters » ont été installés. 



Autre risque majeur, le black-out provoqué par un hacker ou un cyber-terroriste, auquel le système Linky rend la France particulièrement vulnérable. De plus, la surveillance généralisée des faits et gestes de la population est rendue possible par la transmission en temps réel des données de consommation. Ce système est énergivore : chaque compteur Linky consomme en permanence 10 watts, et 700.000 concentrateurs (ordinateurs et antennes-relais GPRS 3G à hauteur d’homme) vont être installés dans les postes de transformation électriques.

Enfin, dommage collatéral du Linky, la suppression des 10.000 emplois générés par la relève des compteurs. Ces personnels, qui ne sont pas électriciens vont être formés à la va-vite pour installer le Linky, ce qui leur assurera un emploi… jusqu’en 2022, selon le témoignage d’un employé de LS Services, sous-traitant d’ERDF qui emploie 500 personnes dans toute la France. Les formations commencent déjà.
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dimanche 17 janvier 2016

Repas chez les familles Roms de la sablière de Rezé.

Un très bon moment avec les familles de la sablière de Rezé. Un grand merci à la fanfare amfifanrare !
Dommage que si peu de famille du quartier de Trentemoult ne ce soient déplacées.