samedi 30 juin 2012

A voir à l'espace Diderot : "La Loire dessus dessous"

Cette expo m'a enchantée par son ambiance, sa qualité, sa pédagogie. 

Si vous aimez les histoires de Loire, au travers de l'archéologie et de la vie batelière, ne ratez pas cette exposition.

Objets, images, maquettes... du site de St-Lupien et d'ailleurs. 
Avec comme pièces phares le quai de Ratiatum (moulage en résine) et la pirogue de Gueugnon (9m de long, plus 1 100ans).

Comptez une heure 1/2 si vous lisez tout et regardez toutes les vidéos.

Ouverte de 14h à 18h du mardi au dimanche jusqu'au 30 septembre. Visite guidée le jeudi (juillet-août) et le dimanche. 

L'expo se prolonge par des conférences jusqu'en septembre...

Bonne visite !


Essai de partage transformé ??

Ce dimanche 23 juin 2012 de la Fête des Couleurs a plutôt été prometteur pour faire perdurer une rencontre trentemousine des voisins-es sur le quai ...


Avant














Pendant 


La météo de cette journée peu estivale a du rebuter pas mal de voisins-es.
 
Néanmoins, l'ambiance était joyeuse sur le quai, au droit du "Confort moderne" et de la "Compagnie des quais". Apéro, tartes salés , plats, barbecue et desserts à partager ont comblé les convives.

Nom de Zeus ! nous avons du décamper vers 16h, mais non sans avoir profité du bord de Loire dans une douceur inespérée et avec la venue imprévue de la joyeuse Flan Far aux Pruneaux de Questembert !
















Que diriez-vous de remettre cela durant l'été indien s'il en est !? 




vendredi 29 juin 2012

Si vous en avez assez des emm... au téléphone.

http://www.pacitel.fr/inscription.php

Pacitel est une liste regroupant les numéros de téléphone fixes et mobiles des consommateurs qui ne souhaitent plus être démarchés téléphoniquement par les entreprises dont ils ne sont pas clients. Fondée sur le droit d'opposition classique de la loi de 1978, elle met les consommateurs à l'abri des appels provenant des entreprises auxquelles ils n'ont pas donné leur consentement.
Avant de prospecter téléphoniquement des consommateurs, les entreprises membres engagées dans Pacitel adapteront leurs fichiers de prospection commerciale pour tenir compte de cette nouvelle liste. Les entreprises membres des fédérations professionnelles adhérant à l'Association Pacitel représentent potentiellement 80% des acteurs du démarchage téléphonique.
Si vous souhaitez ne plus être démarché téléphoniquement par des entreprises dont vous n'êtes pas client, inscrivez-vous dès maintenant sur la liste Pacitel. L'inscription est entièrement gratuite pour le consommateur.

Vous pouvez entrer jusqu'à 6 numéros.

Vivre en décroissance

Grèce


Article paru dans l'édition du 10.02.12
 

La crise a provoqué en Grèce un télescopage inattendu entre la décroissance comme philosophie politique, consentie et même voulue, et ses nouveaux adeptes, bien obligés de gérer la pénurie. Du troc aux « banques de temps », des Athéniens réinventent la démocratie.
 Un immeuble gris de trois étages et un toit-terrasse qui ressemble à tant d'autres bâtiments d'Athènes : solide, massif et écaillé, comme 
éprouvé par la crise qui marque chaque jour davantage les corps et les esprits. Il abrite le siège de l'association écologiste Nea Guinea, à quelques pas du cimetière d'Athènes et du Stade de marbre. 

Agés d'une trentaine d'années, Kostas et Fotini (qui souhaitent rester anonymes), un couple de militants adeptes de la décroissance économique et de l'écologie pratique, apprennent à un public de plus en plus nombreux à utiliser l'énergie du soleil et du vent, à fabriquer ses propres médicaments, ou plus simplement à cultiver son jardin dans la cité.
 En Grèce, la décroissance a rencontré la crise. Elle a ses adeptes contraints, dont les revenus se sont effondrés et qui n'ont pas d'autre choix, et ses partisans convaincus qui y voient un moyen de réagir et de vivre différemment. Au sous-sol de Nea Guinea, une petite pièce à peine éclairée, jonchée de sciure de bois, sert d'atelier de fabrication pour des panneaux photovoltaïques. Kostas y assure des cours plusieurs fois par semaine. Confectionner un panneau solaire semble relativement facile. Il suffit de coller des plaques de silicium, achetées dans le commerce ou par correspondance, sur une vitre. On relie ensuite les plaques entre elles par des fils électriques branchés à une batterie. Le cadre est formé de barres métalliques vissées l'une à l'autre.
 Dans son atelier, Kostas dispense d'autres savoirs, de la fabrication d'éoliennes pour toit urbain à la conception de fours solaires, grosses boîtes en bois dont l'intérieur est tapissé de feuilles d'aluminium, chargées de refléter les rayons.
 Kostas et Fotini utilisent ces panneaux pour éclairer leur logement, une maisonnette d'une seule pièce construite sur le toit de l'immeuble. L'été, les batteries sont rapidement pleines. En plein hiver, le couple, qui aspire à vivre en autarcie, se chauffe à l'aide de bûches provenant des montagnes entourant Athènes. « Certes, il ne s'agit pas d'une ressource immédiatement renouvelable et cela finit par peser sur la nature », admet Fotini.
 
Le couple cultive, sur le toit-terrasse, légumes et fruits de saison. Dans de larges bacs remplis de terre et nourris au compost, poussent du basilic, des tomates, du thym, du romarin, des épinards, des radis... Au premier étage, dans une salle remplie de bocaux contenant des graines ou des herbes, Fotini explique à des citadins comment planter, faire pousser et accommoder les légumes. Dans une autre pièce, on vient déposer les vêtements dont on n'a plus besoin, accessibles à tous.
Au rez-de-chaussée, la jeune femme enseigne la gymnastique, le yoga et la médecine douce. Sur une étagère sont présentés des produits du commerce équitable ou encore des petits pots de beurre de cacao destiné à soigner les lèvres gercées qu'elle fabrique elle-même. Les cours ne sont pas gratuits. Le prix, fixé à 5 euros, est celui payé le plus souvent. On peut donner plus. On peut aussi donner moins. 
Nea Guinea rencontre un succès grandissant. A l'origine, ces militants ne concevaient pas leur action comme une réponse à la crise mais comme un acte politique. « Techniquement, il n'y a aucune différence entre la récession et la décroissance. Mais la première est mal vécue tandis que la seconde peut constituer une voie d'avenir », théorise Kostas. Ses recettes séduisent un public de plus en plus large, quand le pays entre dans sa cinquième année de récession. « Nous ne sommes pas par magie devenus des adeptes de la décroissance, mais nous devons faire avec 50 % de moins », résume l'ethnologue et historien Panagiotis Grigoriou, qui tient un blog en français sur la vie quotidienne en Grèce.
 Des trentenaires désabusés, alertés par le bouche-à-oreille, débarquent dans les locaux de Nea Guinea en espérant qu'un panneau photovoltaïque leur permettra d'économiser quelques euros par mois. « Il y a deux ans, nous étions considérés comme des marginaux. Aujourd'hui, presque tout le monde en Grèce juge notre action utile », constate Kostas. L'association n'est pas le seul mouvement, à Athènes, qui prône la décroissance consentie face à la crise. « D'autres proposent des cours pour apprendre à consommer moins d'énergie ou à cultiver bio. Dans un pays où plus personne n'a confiance dans l'Etat, chacun est amené à utiliser les ressources qui demeurent à sa disposition », explique Maria Peteinaki, architecte et membre du parti écologiste grec.
 A Exarchia, quartier anar et bohème d'Athènes, Skoros (« la mite ») est devenu un lieu incontournable. C'est un magasin où l'on ne paye pas. On y échange des objets, des livres ou des vêtements. On y vient aussi pour donner, ou seulement pour prendre. Une bonbonne remplie de pièces est posée sur le comptoir, devant une affiche : « Skoros appartient à tout le monde, aidez-nous à le maintenir ouvert. » Ces oboles sont destinées à payer une partie du loyer et de l'électricité. Sans obligation de don. 
L'aventure a commencé dans le coin d'une boutique de commerce équitable. « Nous avons créé Skoros, car nous n'avons pas besoin d'avoir dix pulls ou dix vestes. Nous pouvons en donner à des gens qui en ont besoin. Nous voulons faire comprendre qu'il n'y a pas besoin de posséder beaucoup pour être heureux », explique Elena, qui fait partie de la quinzaine de bénévoles qui animent Skoros.
 Devant le succès, « la mite » a volé de ses propres ailes pour emménager dans ce magasin à la fin de l'année 2009. « Quand nous nous sommes installés, la crise n'était pas encore là. Les gens avaient vraiment trop de choses, se souvient une autre bénévole, Elisabeth Panagakou. Depuis, nous avons dû créer des règles. Nous ne voulons pas qu'ils se comportent comme des consommateurs. Bien sûr, nous ne pouvons pas dire à un migrant pauvre qu'il doit consommer moins. Mais nous ne faisons pas de philanthropie. Nous voulons créer un sentiment de solidarité. » Une affiche indique que l'on ne peut pas prendre plus de trois produits. « Il y a des gens qui viennent ici pour prendre, prendre. Ce n'est pas possible, ce n'est pas notre philosophie », tranche Elena.
Dimitri Koliomichalis est venu avec sa femme. Ils sont tous les deux au chômage et vivent grâce aux retraites de leurs parents, qui diminuent à chaque nouveau plan d'austérité. Ils fréquentent Skoros pour trouver de quoi habiller leur jeune enfant et apportent en échange des vêtements devenus trop petits. « Ce genre de magasin nous aide à réfléchir, explique ce trentenaire. La Grèce était un pays très pauvre. Puis est arrivée l'ère de l'argent facile. Les Grecs sont devenus égoïstes et ont oublié qu'ils étaient pauvres. La crise va peut-être nous aider à changer notre façon de penser. Nous n'avons pas besoin de beaucoup d'argent. »
...
On peut même créer des banques sans argent. Les « banques de temps » font florès en Grèce. Vassili Revelas avait participé à cette expérience à San Francisco et voulait la reproduire en Grèce. Place Syntagma, lors du mouvement des « indignés » en juin 2011, il voit un panneau indiquant « Trapeza Chronou » (banque du temps). « J'ai découvert qu'une trentaine de personnes avaient la même idée en tête. » Ils lancent leur site Internet à la fin de l'année 2011. En quelques semaines, 600 inscriptions affluent.
Le principe est simple. Les personnes intéressées indiquent en ligne les services qu'elles peuvent rendre et ceux dont elles ont besoin. Quand quelqu'un utilise une heure de service, elle est débitée de son compte-temps, tandis que celui qui a rendu un service ou transmis un savoir bénéficie d'une heure de crédit. Le système doit garder l'équilibre. Il est impossible d'avoir plus de trente heures de débit. La banque du temps veut éviter le surendettement que connaît le pays.
« J'ai réparé un ordinateur, ça m'a pris trois heures. Je pourrai disposer de trois heures d'un service quand j'en aurai besoin, et pas forcément par celui qui m'avait demandé de l'aide », résume Vassili Revelas. Nikos a proposé son aide pour un déménagement. En échange il a reçu une assistance pour tenir sa comptabilité. « Le principe, c'est que toutes les heures sont égales. L'heure d'un médecin ne vaut pas plus que celle d'une femme au foyer, précise Vassili Revelas. Cela permet de créer de la solidarité. Quand quelqu'un que vous ne connaissez pas vous propose le service dont vous avez besoin, ça vous rend heureux. »
Des réunions ont lieu tous les dimanches à Nosostros, un des hauts lieux alternatifs d'Exarcheia, pour discuter du fonctionnement de la banque. Une vingtaine de personnes forment un cercle. On lève le doigt pour demander la parole et l'on parle à tour de rôle. Dimanche 5 février, l'ordre du jour commence par l'examen d'une demande de rencontre émise par la BBC. Lors d'une séance précédente, la demande du Monde avait été acceptée - la démarche a été identique à Skoros et à Nea Guinea. Un grand débat est lancé : faut-il échanger des produits contre des services ? Si oui, comment définit-on la valeur de ce produit ? « Il faut se limiter à ce qu'on fait soi-même pour évaluer le temps qu'on y a consacré », suggère Vassili Revelas. Un dimanche n'épuise pas le sujet. La démocratie prend du temps.
Georges vient pour la première fois. Il a eu connaissance du projet par Internet. « Le système basé sur l'argent n'est pas bon. Même ceux qui le conçoivent ne le comprennent plus. Il faut trouver d'autres voies. J'y pensais en lisant La République ». Ce lecteur de Platon est militaire, dans la marine. « Sur un bateau, vous avez le temps de réfléchir », dit-il en souriant. Il a fait escale à Exarchia, le port des anarchistes, pour refaire La République.


Olivier Razemon et Alain Salles (à Athènes) - Source : Le Monde

Parcours des créateurs Trentemoult


Trentemousines et sins,
pendant le parcours des artistes le week end du 2 juin il y aura du passage dans les rues de Trentemoult.
pourquoi pas de la danse ?
Samedi soir à partir de 20 heures 30 ,
nous vous invitons 7 rue Félix Contant
à participer à un spectacle de danse
avec Kekosa

Pensez à amener votre pique nique , il y aura table , chaise , à boire....
merci de préciser votre venue.
faites passer le message
amitiés
Liliana Bruno
pour le spectacle paiement à la "chaussette" 
(autour de 10 euros par personne , en fonction du nombre de participants !!)


Parmi les artistes contemporains, il en est un qui aime tout particulièrement représenter notre société à travers des sculptures époustouflantes de réalisme. L’arrivée de Ron Mueck au sein du monde de l’art contemporain est assez récent, une douzaine d’années seulement. Mais en réalité cet artiste n’est pas novice en la matière. Retour sur le parcours de cet homme à part. Rom Mueck est un artiste australien, né à la fin des années 50 à Melbourne. Tout petit déjà, il passe son temps à fabriquer des objets. Faut dire qu’avec un père sculpteur de jouets en bois et une mère créatrice de poupées de chiffons, il avait toutes les cartes en main pour bricoler et surtout, laisser parler sa créativité. Une fois adulte, Ron Mueck construit des marionnettes. En 1979, il trouve un emploi à la télévision pour créer les marionnettes d’animaux de l’émission australienne pour enfant, Shirl’s Neighbourhood. 
À partir de 1983, il part pour Londres et collabore aux shows du célèbre Jim Henson (Muppet Show & Sesame Street). L’expérience se poursuit avec deux longs-métrages (Dreamchild puis Labyrinth, avec David Bowie) pour lesquels Ron Mueck gère la partie effets spéciaux et marionnettes. En 1990, il décide de créer sa propre entreprise qui produit des mannequins pour les publicités. Il se spécialise dans la création de personnages assez réalistes qui sont ensuite photographiés sous un certain angle afin de créer une illusion. Mais notre homme veut aller plus loin en cherchant à produire des sculptures offrant une sensation parfaite de réalisme, qu’importe l’endroit depuis lequel on les regarde. C’est à la demande de sa belle-mère, l’artiste peintre Paula Rego, que Ron Mueck réalise pour elle un modèle de Pinocchio petit garçon. Le résultat est saisissant. C’est à cette époque que Charles Saatchi, célèbre collectionneur d’Art, découvre cette sculpture. Aussitôt conquis, il commande quatre nouvelles œuvres à l’artiste australien. Cette première exposition artistique et médiatique, durant l’exposition Sensation (1997) à la Royal Academy of Arts, marque un véritable tournant dans sa carrière. 

Dès lors, Ron Mueck n’est plus simplement vu comme un technicien doué de talent mais comme un véritable artiste. Parmi les œuvres présentées, l’une fait légèrement polémique. Avec Dead Dad, Ron Mueck nous montre à voir, dans un format réduit au 2/3 de la taille réelle, la sculpture de son père mort. Cette sculpture est terrible de réalisme et c’est ce qui choque une partie des visiteurs qui trouvent impudique de montrer à tous l’intimité la plus profonde de cet homme sans vie. C’est aussi une façon de mettre les gens face à certains tabous de notre société comme la représentation de la mort. Depuis, son travail a été exposé un peu partout dans le monde : Biennale de Venise en 2001,  à Paris en 2005 lors de l’exposition Mélancolia au Grand Palais puis en 2006 à la Fondation Cartier, au Musée des beaux-arts du Canada d’Ottawa en 2007 puis au Brooklyn Museum of Art, au British Museum fin 2008-début 2009… Le travail de Ron Mueck s’inscrit dans le courant d’art contemporain de l’hyperréalisme. Ses sculptures tentent de reproduire à la perfection certains moments de la vie des hommes (naissance, vieillesse, mort) tout en offrant à l’œuvre une personnalité et une place dans notre société. Mais malgré un réalisme flagrant, un détail vient placer la sculpture dans un autre univers que le notre : la taille de la sculpture. Aucune d’entre elles ne fait la taille qu’elle devrait avoir dans la vraie vie, elle est soit beaucoup plus petite soit gigantesque. L’artiste créé aussi bien un petit garçon de 5 mètres de haut qu’un couple d’environ 40 centimètres. Faire des œuvres de taille “réelle” ne l’intéresse pas puisque, et il le dit lui-même, ” on voit des gens de taille humaine tous les jours ! “. Voici par exemple son autoportrait. À la différence de la majorité des œuvres, il est préférable de prendre en photo l’environnement qui entoure la sculpture, afin d’avoir un rapport de taille avec les visiteurs présents. Son travail se rapproche un peu des personnages de Duane Hanson, avec une approche tout de même différente puisque la plupart des corps sont nus, comme dans le travail de John De Andrea. Le travail de Ron Mueck est malgré tout plus précis, plus réaliste encore, comme dans les portraits de Chuck Close. L’émotion qui se dégage de ces sculptures peut se rapprocher en partie de certaines toiles de Lucian Freud, Stanley Spencer ou encore Jenny Saville. Pour créer ses sculptures, Ron Mueck doit procéder par plusieurs étapes : croquis, ébauches, structure métallique, sculpture en terre, moulage en silicone ou en résine polyester, peinture à l’huile pour les détails (grains de beauté, rides, veines…). Certaines œuvres sont réalisées en fibre de verre, plus adaptée selon le format final. Notons que Ron Mueck représente généralement des personnages dans leur ensemble et s’il ne montre qu’une partie, c’est systématiquement le visage car c’est cette zone qui façonne la personnalité. Les œuvres sont placées dans des situations bien précises et libre à chaque visiteur d’interpréter, voire d’imaginer des liens entre les différents personnages. Ron Mueck a traité à peu près tous les moments de la vie, de la naissance à la mort mais l’ensemble est teinté d’une touche de mélancolie. Aucun “personnage” ne sourit et on perçoit souvent une solitude, une souffrance ou une tristesse sous-jacente. 

Le visiteur peut à la fois se retrouver dans certaines situations et en même temps il reste spectateur de cette représentation qui n’a pas lieu d’être dans la réalité puisque trop petite ou trop grande. Voilà un aperçu de son travail qui reprend la chronologie d’une vie : La naissance L’enfance Le passage à l’adolescence La vie adulte La vie en couple La grossesse (cette statue a été acheté environ 530 000€ par par la National Gallery of Australia) La naissance La quarantaine-cinquantaine La vieillesse La mort (avec la sculpture Dead Dad, voir au début de l’article) La vie après la mort ? 

 Pour en savoir davantage sur cet artiste et en attendant qu’une exposition soit à nouveau organisée en France, vous pouvez consultez Ron Mueck, l’ouvrage d’Heiner Bastian. Je vous propose aussi de regarder le reportage qui lui a été consacré (produit par la National Gallery of London). Voici la seconde partie qui nous montre le processus de création. L’artiste met de plusieurs semaines jusqu’à plusieurs mois pour obtenir le résultat qu’il souhaite. C’est un travail lent et minutieux (les poils sont implantés un à un dans le silicone). Voici les liens pour accéder au début puis à la fin de ce reportage. Pour finir, voici quelques photos, sorte de making-of du travail de l’artiste, de la mise en place des œuvres puis de l’exposition. 

Pour voir les autres clichés, consultez l’album Flickr du Brooklym Museum. © affiche, pinocchio, dead dad, mask, étapes, photos : brooklyn museum - chilloutpoint - doffay - damncoolpics - dilidou, FreGre97 












Parcours des créateurs Trentemoult 2012, le 1,2 et 3 juin 2012.





Cinema en plein air à Rezé le Vendredi 6 juillet

Cinéma le vendredi 6 juillet 2012 à 19h30
Parc des Mahaudières a Rezé - Entrée gratuite

Au programme : Coo


dimanche 24 juin 2012

Camps des Roms Trentemoult : RCC




Superbe Chorale, un bon moyen de combler le fossé...
dommage que cela n'est pas été annoncé dans le quartier.


 

Deux points de vue :









Trentemoult : Fête des couleurs.

Une belle après-midi...

jeudi 21 juin 2012

La soupe... dernière louche vendredi 29 juin.



Un dernier rappel pour le spectacle "LA SOUPE" qui sera joué le vendredi 29 Juin à Trentemoult  Rezé 20h30 chez Mme Cabaret Bernadette au 11 rue Lebreton.
Il reste des places donc à vos agendas....

Résa. Christelle 


On vit une époque formidable.


Air France annonce 5.000 licenciement, le titre prends +7% à la bourse...
Le G20 décide de ne (toujours) pas taxer (à 1% !) les transactions financières...
Le précèdent dirigeant d'Air France part avec 20,5 M€ d'indemnité et 400.000 € de prime de non-concurrence...


jeudi 7 juin 2012

L'état et les banques, les dessous d'un hold up.

Folies Tapping le retour - vendredi 8 juin

C'était un bien beau week-end que celui des 11,12 et 13 mai derniers :soleil, musique, convivialité, tapping ont résonné à Beau Rivage, au Tube et dans tout le village. Venez (re)vivre cette deuxième édition du festival en images et en anecdotes, ce vendredi 8 juin à partir de 19h à la Maison des Isles. Chacun amène de quoi grignoter, nous fournissons la boisson... Entrée libre.
A demain, le collectif 4par2.

mercredi 6 juin 2012

ECOREV : 1er vernissage des Sessions Créatives

INVITATION
 Demain jeudi 7 juin à 20 heures
Venez assister au vernissage de 2 créatrices Nina ROBIN et Aurélié BRILLAUD
qui ont participé aux sessions créatives au sein d'Ecorev.