vendredi 25 novembre 2011

le mardi 13 décembre à 20h30 au Dix, butte Sainte Anne à Nantes

Troisième rendez-vous de la saison pour les Ateliers du Doc :
le mardi 13 décembre à 20h30 au Dix, butte Sainte Anne à Nantes

avec la projection de "Ce qu'il reste à finir" de la réalisatrice nantaise Lisa Diaz.



Un film réjouissant où il est question d'utopie, d'aventure collective, le tout dans les paysages magnifiques des gorges de l'Ardèche.

Lisa Diaz sera présente pour échanger avec le public à l'issue de la projection.

L'entrée est libre.

Plus d'infos sur le film :
Les Ateliers du doc
http://balibari.com/index.php?option=com_content&task=view&id=117&Itemid=20

jeudi 24 novembre 2011

Autriche : sans argent, le millionnaire est plus heureux.

C’était l’un des hommes les plus riches d’Autriche, il a donné toute sa fortune. Karl Rabeder vit désormais avec 1 000 € par mois, et se déclare plus heureux.

«Si l’argent ne fait pas le bonheur, alors rendez-le! » ironisait, il y a plus d’un siècle, l’écrivain Jules Renard.

Il y a au moins un être (très) humain sur notre planète qui a appliqué cette drôle de formule détournant le vieux dicton populaire. Il s’appelle Karl Rabeder, c’est un Autrichien au physique d’intello, âgé de 49 ans.

Epuisé par la société de consommation et « le matérialisme » à outrance, ce chef d’entreprise millionnaire qui s’était enrichi grâce à la vente de mobilier d’intérieur a décidé, l’an dernier, de renoncer totalement à sa fortune afin de financer de bonnes causes dans les pays en voie de développement. Il avait juré qu’il se contenterait désormais de1000 € par mois. Une annonce qui avait fait grand bruit à l’époque dans la presse internationale. Depuis, le néophilanthrope avait disparu de la circulation. Jusqu’à ces derniers jours où il est réapparu dans un média allemand, histoire de partager le bonheur de sa nouvelle vie plutôt… frugale!

Cet habitant du Tyrol, qui a écrit le livre « Celui qui n’a rien peut tout donner », pose devant sa petite cabane en bois d’une surface de 19 m2, à mille lieues de son ancien chalet luxueux de 321 m2 avec hammam et vue imprenable sur les Alpes.

Sa maison, gros lot d’une tombola

Il assure qu’il se sent mieux dans sa peau aujourd’hui qu’hier. « L’amour, la lumière du soleil, l’air frais, voilà les choses qui rendent heureux », a-t-il confié. Quand il regarde les clichés de son passé, ce père de famille se trouve « misérable », « triste, « fatigué ». « J’ai l’impression d’avoir dix ans de plus que maintenant », décrit-il.

Le déclic, on pourrait même dire la révélation, il l’a lors d’un voyage à Hawaii. Dans ce décor paradisiaque, le touriste alors plein aux as a le sentiment de ne rencontrer personne à part du personnel de palace à son service. Il trouve l’échange artificiel. Soudain, à ses yeux, l’argent est devenu « contreproductif ». C’est le blues du businessman. Ce que veut dorénavant Karl, c’est du « réel », de l’épaisseur dans la relation humaine.

De retour au bercail, il se promet, avec son épouse, de ne plus être esclave de son travail et de sa richesse. Pendant des décennies, pourtant, il n’avait pensé qu’à ça. Il faut dire que celui qui n’a jamais connu son père a grandi dans un milieu défavorisé.

Après avoir vendu son entreprise, il dit adieu à tous ses biens ostentatoires, à l’instar de sa collection de planeurs ou de sa berline, une Audi A8. Il se sépare aussi de sa demeure intronisée gros lot d’une loterie sur la Toile. Il écoule ainsi 21999 tickets à 99 € pièce, prix d’acquisition incroyable de la maison par un sacré veinard tiré au sort. Au final, les quelques millions récoltés permettent d’alimenter sa société de microcrédit, qui finance des projets dans le tiers-monde. Sa reconversion profite par exemple aux orphelins d’Amérique latine. Aujourd’hui, à l’aise dans ses baskets, Karl est devenu une sorte de coach du bonheur. Il donne aussi des conférences, passant une partie de son temps à narrer sa belle aventure dans les entreprises. L’argent qu’il perçoit lors de ses différentes interventions est, en grande partie, reversé à sa société de microcrédit.


dimanche 20 novembre 2011

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samedi 19 novembre 2011

Les Pétroleuse à Trentemoult...


Trentemoult : Auteurs repris de justesse, le 3 et 4 Décembre.


Trentemoult

vous êtes invités  à la Première édition des

Auteurs repris de justesse. 

les 3 et 4 décembre

de 11h à 19h


En face du parking du Port de plaisance
11 quai Surcouf, Rezé les Nantes.

Dédicace nouveau recueil de Haïkus, NANTES, pour l’instant, illustré par Siobhan Gately
Présente 6 créations sonores réalisées avec Jean Pierre Jagot
Ponctue le week-end de lectures le samedi et dimanche à 12h et 16h
Contact : michel.lebrigand@wanadoo.fr 02 40 95 24 06

Il y aura nos livres, des peintures, des amis, un poêle à bois,
du cidre et du jus de pommes et j’en passe.
Des lectures, à midi, à 16 heures.



Venez nous voir, nous venons à votre rencontre.

mercredi 9 novembre 2011

Haute-Ile sous Haute-tension.

Je ne sais pas si vous êtes au courant, mais le quartier de la Haute-Île est invité par la mairie à une "Réunion d'information - La Haute-ïle"
mardi 15 novembre, à 18h, à la maison de quartier du Port-au-blé, rue Véga. Le fait que l'asso de quartier, "Confluence Loire-et-Sèvre" ait réclamé cette réunion avec insistance n'y est sans doute pas pour rien...

La mairie prévoit de nous informer sur :
- projet d'extension de l'atelier de conditionnement et de stockage de l'usine de fonte et de raffinage de corps gras animaux et végétaux exploitée par la société Alva,
- agrandissement d'Echo (Expansion des centre d'hémodialyse de l'Ouest) : extension et réaménagement d'un entrepôt,
- Questions diverses.

Deux remarques :
> l'horaire : pas simple à tenir pour qui travaille
> le fait que seule la Haute-Île soit invitée. Pourtant, le quartier fait bien partie du découpage "Trentemoult-Les Îles"

Sous tendu par ce projet de construction, se pose plus largement la question du PLU dans nos quartiers qui risque, à terme, de devenir un réel problème. Rien actuellement ne s'oppose en effet à ce que des constructions hautes poussent en limite de village. Bref, plus nous aurons du soutien, plus nous pourrons faire valoir nos arguments.

Dans ces délais très courts (week-end, pont...), pensez-vous qu'il vous serait possible de mobiliser des Îliens, ou sympathisants, convaincus par le bien-être, la douceur de vivre et le manque de savoir-vivre de l'usine Alva qui s'étend jusqu'à l'écoeurement, et qui pourraient être présents lors de cette réunion, histoire que l'on se sente moins seuls ?

lundi 7 novembre 2011

Perdre 2000 calories...

On peut aussi aller chercher sa baguette à pied ou monter sans l'ascenseur !