lundi 28 février 2011

Une photo à 135 Euros

Chain Letter reçue d'amis habitant Angers !




"Celle là on va pas la louper et on fait suivre !!!!

Le bon exemple ??? 
Mon oeil ! Voir l'emplacement. .. 
Photo prise  cette semaine au Leclerc Atout-sud de Rezé...
 

Pour être un bon citoyen, on vous l'a toujours dit : 

il faut toujours écouter les conseils de la Police  ...

  
et surtout suivre leur  Exemple ! ! !
Mais peut être sont ils handicapés !  Qui sait ?"

Les trentemouz'arts présentent leur nouvelle pièce.

 Venez nombreux et surtout réserver car il y a peu de places.


mardi 22 février 2011

Un nouveau parking à Trentemoult. Un nouveau parking à l’angle de la rue Codet et de la rue Lancelot peut accueillir 40 véhicules. Il devrait ouvrir jeudi 24 février 2011.


Ce parking étant opérationnel, les stationnements du quai Marcel-Boissard côté Loire vont pouvoir être supprimés. Les voitures ne pourront se garer que le long des façades des maisons et des restaurants. Ce nouvel aménagement va donc libérer le front de Loire et le réserver aux piétons, cyclistes, flâneurs, …
« Nous avons entendu les arguments des riverains qui souhaitaient que nous compensions dans un premier temps le nombre de places de stationnement que nous envisagions de supprimer en bord de Loire », confie le maire. A la fin des travaux, les 71 places réparties sur le village auront remplacé les 70 supprimées sur les quais.
Fin mars, le sens de la circulation devrait être inversé. A savoir : tous les véhicules provenant du quai Surcouf emprunteront la rue Jean-Jouneau et non plus le quai Marcel-Boissard. En revanche, les vélos pourront poursuivre leur route en front de Loire. Prochaine étape : la démolition du hangar de l’ancien chantier du port afin d’aménager la partie ouest de la place des Filets.

Publié le 21 février 2011 (site web : http://www.reze.fr)



samedi 19 février 2011

HAIKUS





la brume levée
l’onde épouse le fleuve
aux reflets brisés








vendredi 18 février 2011

Trentemoult : l'immobilier, article dans l'Express.


Quand le marché nantais était encore calme et sans excès, le sud de la Loire et ses petites maisons de tuiles étaient laissés pour compte. Face à la frénésie de ces dernières années, ces communes «à la traîne» ont vu exploser la demande puis les prix. Une fois révélées, Rezé, Vertou ou Saint-Sébastien sont devenues les destinations des travailleurs nantais et des budgets moyens désireux d'acquérir une maison individuelle. Un phénomène qui fera bientôt partie du passé.
Aujourd'hui, si les prix restent légèrement inférieurs, le sud a rattrapé le nord. «La plupart de nos clients recherchent des biens situés entre 180 000 et 200 000 €, mais il est difficile de trouver au-dessous de 200 000 €», constate Dominique Demont, de l'agence TO2i.
A 15 kilomètres de Nantes, inconnue dix ans plus tôt, la petite commune rurale des Sorinières a changé de visage. Proche du bourg, une très belle maison de 105 m2, avec un terrain de 700 m2, est à vendre 230 000 €. Il y a seulement trois ans, elle serait partie pour 200 000 €! «Le prix du foncier atteint des niveaux déraisonnables», insiste Olivier Le Guen, de l'agence Abscisse immobilier.
Même constat du côté de Rezé. Si, par chance, un terrain de 700 m2 est dégagé, il faut compter entre 150 000 et 170 000 €. Soit le même prix qu'au nord de la Loire. Ainsi, sur les bords de Sèvre, une maison de 125 m2 a été cédée pour 500 000 €. «Son terrain de 1 200 m2 divisibles promet une bonne plus-value à son propriétaire», précise Dominique Demont. Les promoteurs suivent le mouvement et n'hésitent plus à détruire de vieilles demeures pour augmenter le nombre de mètres carrés. A Saint-Sébastien déjà saturé, les quelques programmes neufs générés par la nouvelle ligne de tramway vont tourner autour de 3 000 € le mètre carré.
Si les prix dans le neuf, déjà très élevés, restent stables, ils tirent l'ancien vers le haut. A Rezé, alors qu'un T 3 neuf vaut entre 190 000 et 230 000 €, le même produit dans l'ancien peut monter jusqu'à 180 000 €, selon l'emplacement. «Rezé n'a pas de centre-ville, c'est surtout un conglomérat de quartiers plus ou moins recherchés», analyse Dominique Demont. Dans le secteur prisé de Saint-Paul, une maison classique de 1975 avec 3 chambres et un petit jardin de 200 m2 s'est vendue 295 000 €, précise-t-il.
Des biens atypiques très recherchés
Autre exemple, un T 4 de 70 m2, nécessitant quelques travaux et proche des commerces, qui vaut 170 000 € dans le quartier réputé des Trois-Moulins, ne coûtera que 130 000 € dans le quartier du Château. Sur les bords de Loire, Trentemoult et Haute-Ile sont recherchés pour leurs biens atypiques. Les maisons de pêcheurs partent entre 170 000 et 220 000 €, et, pour une maison d'armateur du début du XXe siècle, il faut compter de 300 000 à 600 000 €.
Aux portes du vignoble, Vertou est devenue résidentielle et huppée. Seule contrainte, s'y installer exige d'être motorisé. Mais, à la Toussaint, le BusWay reliera Nantes à Vertou en vingt minutes. Malgré quelques possibilités d'appartements moins chers le long de la ligne de tramway, comme dans le quartier de Pont-Rousseau, à Rezé, le sud n'est plus un refuge pour des jeunes obligés parfois d'aller jusqu'en Vendée. Conséquence, Sainte-Pazanne et Blain se développent rapidement. A 40 kilomètres de Nantes.

L'Express




jeudi 17 février 2011

Oh mon bateau !



mercredi 16 février 2011

Obsolescence programmée.

La plus vieille ampoule du monde


L'ampoule a été inventé par l'anglais Joseph Swan.
La plus vieille ampoule du monde se trouve dans une caserne de pompiers à Livermore au Etats-Unis. Elle a été mise en 1901, et elle fonctionne toujours. Depuis 30 ans, elle reste allumée 24 heures sur 24.
Vous pouvez la voir ici, grâce à une webcam.

 Magnifique reportage sur Arte sur l'obsolescence programmée et la décroissance :


Dans une décharge de "déchets électroniques" à Accra au Ghana.
A force d'entendre ses grands-parents ressasser la même antienne, Cosima Dannoritzer a voulu en avoir le cœur net. Les produits de consommation duraient-ils vraiment plus longtemps, avant ? Rompue à l'art de dépiauter le passé – elle a consacré plusieurs documentaires à la Seconde Guerre mondiale –, la réalisatrice a tout naturel­lement commencé par interroger les archives. Puis le verdict est tombé, formel : les aïeux avaient raison. Drôle de paradoxe, à l'ère du progrès technologique, que de voir la qualité de nos équipements régresser ! Pendant plusieurs années, elle s'est employée à chercher les raisons de ce phénomène en apparence anachronique. Habile réflexion historique et philosophique sur les dérives de notre société de consommation, Prêt à jeter dénonce le fonctionnement général de l'industrie mondiale, sans chercher néanmoins à confondre ceux qui la font. Un secteur dominé par une pratique aussi payante pour la croissance économique que délétère pour l'environnement : l'obsolescence programmée (1).


Apparu dans les années 1920, ce concept issu de la deuxième révolution industrielle ne fut théorisé et baptisé qu'une dizaine d'années plus tard par l'un de ses partisans, Bernard London. Convaincu qu'il fallait stimuler la consommation des ménages pour sortir l'Amérique de la grande dépression, ce courtier immobilier préconisait tout simplement de limiter la durée de vie des produits manufacturés. Moins solides, ceux-ci n'en seraient que plus rapidement remplacés... Ainsi posée, l'équation avait tout pour emporter l'adhésion des fabricants, ce qu'elle ne manqua pas de faire. Dès le milieu du XXe siècle, les ingénieurs ­furent donc sommés de veiller à la désuétude future de leurs prototypes !

L'avocate américaine Elizabeth Pritzker a défendu des milliers de plaignants dans leur procès collectif contre Apple ; ils dénonçaient notamment la difficulté rencontrée lorsqu'ils devaient faire réparer leurs iPod. Interrogée par Cosima Dannoritzer, la juriste raconte avoir « demandé à Apple [...] des documents techniques sur la durée de la batterie de l'appareil [...]. Nous avons découvert que le type de batterie au lithium contenu dans l'iPod était conçu pour avoir une durée de vie limitée », estimée à dix-huit mois. Seulement voilà : l'entreprise n'a pas prévu de remplacer les batteries. Elles sont usagées ? C'est le baladeur entier qu'il faut changer !

Les exemples de ce type sont légion. Dans l'enquête TV, hi-fi, électroménager... le grand bluff,Envoyé spécial, Linda Bendali dévoilait l'envers des services après-vente, expliquant notamment comment de nombreux appareils, pourtant éligibles à la réparation, étaient déclarés hors d'usage. « Si les fabricants se refusent à admettre l'obsolescence programmée, les ingénieurs la confirment sans peine : ça fait partie du cahier des charges ! », commente-t-elle aujourd'hui. « L'obligation d'afficher la durée de vie des produits électroménagers avait d'ailleurs été envisagée en France, en 2005, lorsque Nelly Olin était ministre de l'Ecologie et du Développement durable. » Le projet n'est jamais sorti des cartons...

Mais le coût et le désagrément subis par le consommateur ne sont pas les seuls effets néfastes de la désuétude planifiée. Car de décharges à ciel ouvert en sites d'enfouissement, la planète déborde des déchets issus des équipements électriques et électroniques, que nous achetons toujours plus nombreux et jetons de plus en plus vite.

Emilie Gavoille - Télérama n° 3187

mardi 15 février 2011

Attentat à la voiture suicide sur le Mac Donalds de la route de Pornic.


C'est pire que l'Irak...  Franchement je comprends pas bien comment on peut se trouver dans cette position ?

dimanche 13 février 2011

Les Vœux des Rezéens 2011


samedi 12 février 2011

Marché bio de Trentemoult, Tatiana notre charcutière menacée.

vendredi 04 février 2011 (source OF)

Un appel à rassemblement de soutien est lancé pour demain, samedi 5 février, à 15 h, à la ferme de la Vinconnière en Chéméré. Tatiana et Michel Morin, paysans charcutiers bio, craignent en effet pour la survie de leur exploitation, suite à l'ouverture de travaux dans la propriété voisine. « En dépit des réglementations et lois en vigueur, l'autorisation de travaux accordée par la mairie en date du 11 janvier 2011, pour rénover une habitation et une ancienne étable sur un site classé Nh (zone naturelle) par le Plu, est lourde de conséquences, dénonce leur comité de soutien. Cette éventuelle construction de 230 m 2 rendrait de fait hors la loi l'élevage de Tatiana et Michel Morin, puisqu'il se situerait à moins de 50 mètres d'une maison d'habitation. »
Le comité fait encore remarquer que le chantier a été ouvert « sans permis de démolir. Le 1 er février, le maire de Chéméré a dressé procès-verbal et formulé une demande aux propriétaires d'admettre qu'ils avaient enfreint son autorisation préalable à travaux en ne signalant pas d'éventuelles démolitions ».
Pour le comité, c'est aussi la question de la préservation de terres et d'activités agricoles qui est posée.





http://www.cochonbio.fr/

CHINE. Une révolte à nu. Ou Zhihang

Risqué. Devant le Potala, à Lhassa (Tibet). Tiré de la série "see and be seen".

Depuis dix ans Ou Zhihang se photographie devant des monuments symboliques de la république populaire ou sur le lieu de faits divers significatifs - nu en train de faire des pompes. Gonflé.

À revoir aussi, 7 ans au Tibet.

Photo Ou Zhihang - Texte Brice Pedroletti - Source Le Monde Mag.

dimanche 6 février 2011

Carte blanche : Roms en errance


 20h30 le 18 février  2011 film-débat à Trentemoult à  la maison des Isles (organisé par le Centre Socio-Culturel Loire et Seil).

mercredi 2 février 2011

vernissage ce soir au salon de coiffure un fauteuil pour deux.

19h30 au salon un fauteuil pour deux, vernissage de l'exposition d'Hélène.


mardi 1 février 2011

haikus








la ville omnibus
disparaît sous les pousses
l’hiver on voit tout